Esben Weile Kjær - Solar System

L'univers artistique d'Esben Weile Kjær est sauvage, coloré, bruyant et séduisant.

Mais ne vous laissez pas éblouir par la musique qui joue et les sculptures qui brillent dans leurs matériaux polis. Le projet d'Esben Weile Kjær va plus loin que le simple attrait.

Ses œuvres mêlent la culture populaire et le kitsch à des questions sociales d'actualité sur le genre, la psychologie, la technologie et le climat. Actuellement, l'exposition Solar System ouvre la voie à une réflexion sur les effondrements passés et futurs de la société et des idéologies sociales.

Avec de toutes nouvelles œuvres et une mise en scène synthétique, une dystopie effrayante et belle est créée avec des créatures louches et des traces d'une époque révolue. L'exposition est un étrange mélange d'archéologie, de futurisme et de glamour brut.

Solar System représente l'effondrement du monde que nous connaissons aujourd'hui à la suite des guerres et de la crise climatique. Au milieu de ce qui est brut et détruit, il y a cependant de l'espoir pour l'avenir, car après l'effondrement, quelque chose de nouveau - et peut-être même quelque chose de beau - émerge.

À propos de l'artiste

Esben Weile Kjær (né en 1992) est diplômé de l'Académie royale danoise des beaux-arts depuis 2022. Au début de sa carrière, il s'est déjà imposé comme un nom familier sur la scène artistique danoise et fait face à une carrière émergente sur la scène internationale.

Il s'est déjà produit dans des institutions culturelles de renom telles que le Centre Pompidou à Paris, le Mumok à Vienne et le Musée Tinguely à Bâle, ainsi que dans de nombreuses institutions danoises. Avec des expositions individuelles dans les centres d'art Copenhagen Contemporary et Gl. Strand à Copenhague - et en tant que commissaire invité au musée d'art contemporain Arken avec l'exposition collective BUTTERFLY ! - il a prouvé qu'il était capable de s'emparer de l'espace avec des installations totales captivantes et tonitruantes.

Photo du haut : Nadine Fraczkowski. Photo de presse d'Esben Weile Kjær.

Photo: Nadine Fraczkowski. Photo de presse Esben Weile Kjær